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Les dogons - Palenque

Les dogons

Sur le continent africain, au Mali, à environ 800 Kms au nord-est de la capitale Bamako, les falaises de Bandiagara abritent le peuple Dogon. Découvert en 1928 et observé dès 1931 par Marcel Griaule, le mystère perdure. Curieusement, c'est par la Mauritanie et le Sahel que les Dogons émigrèrent d'Égypte au 13ème siècle. Ils arrivèrent et s'installèrent au 14ème siècle au pied de cette falaise de 80 Kms de long et 300 m de hauteur par endroits. Ils remplacèrent les Télems. Scindés en 4 clans, ils vénèrent le dieu Amma. Tous les 60 ans, ils entonnent une cérémonie rituelle qui n'est ni plus ni moins que le récit de la création du monde; gravé sur la paroi d'une caverne. La célébration dure 7 ans, c'est le Sigui. Elle a été filmé pour la première fois en 1 967. Le prochain Sigui aura lieu en 2 027. D'après les Dogons: Il y a 10 Sigui dans la falaise + 24 ailleurs = 34 x 60 ans = 2 040 années depuis leur création en - 73

Ils seraient originaires d'une planète évoluant autour de Sirius A, B, naine blanche = renard blanc ? habités par les nommos, amphibie ou C. Ce rythme de 60 ans est basé sur l'évolution d'un des satellites de Sirius. Tous les 60 ans, il y aurait une éclipse entre Sirius et cette planète. Le hasard fit qu'un paléo astronome de Harvard U.S.A. vit les films et documents sur les Dogons. Il découvrit qu'environ 50 ans avant Jésus Christ, Sirius, visible à l'oeil nu, était une étoile double. Une catastrophe cosmologique arriva à l'une des deux étoiles et une seule resta visible à l'oeil nu; ce qui rejoint parfaitement l'histoire des Dogons. Des statuettes sont placées dans les sanctuaires familiaux afin d'honorer les ancêtres premiers et des masques sont portés par les danseurs lors de cérémonies religieuses. Les masques utilisés lors des cérémonies sont exclusivement taillés dans le bois par des hommes dans la grotte, à l'abri de tous regards. Sirius B a été découverte vers 1860 et elle orbite en 50 ans autour de Sirius. Sirius C a une existence qui n'est pas encore confirmée. Orbiterait-elle en 60 ans ?

Comment et pourquoi les Dogons observent-ils l'invisible Sirius B de la constellation du grand chien dans le ciel austral depuis plus de 2 000 ans. Sirius est l'une des étoiles les plus proches de la terre à seulement 8,6 années-lumière. Sa compagne, naine blanche fut observée en 1862 pour la première fois par l'américain Alvan Clarck.

S'agit-il de descendants d'un peuple E.T. originaire de ce système extrasolaire qui, par la coutume, conservent sans le savoir, une partie des souvenirs de leurs ancêtres d'origine E.T. ?

Ces E.T. auraient-ils peuplés en partie notre terre suite à un exode programmé par la prévision de la disparition de la vie sur leur planète ?

Y a t il un lien avec une légende égyptienne datant de Ramsès II (-1 300/-1 200 à - 300) qui prétendait que le taureau Apis était engendré par un rayon de lumière tombant sur une vache qu'il fécondait et qu'il rendait incapable d'accoucher d'un second veau (insémination artificielle ?). Il était reconnaissable par 29 signes sur le corps qu'un prêtre recherchait dans toute l'Égypte (signes de clonage ?). Découvrir Apis marquait le début d'une grande fête durant laquelle l'ancien Apis était mis à mort - noyé dans le Nil - Embaumé, il reposait dans un cercueil portant le nombre oushabtis 401 (?). La liesse était suivie d'un deuil de 60 jours pour honorer l'ancien Apis. On lui prétendait des pouvoirs oraculaires. Il était coiffé du disque solaire et de l'uraeus ou représenté par un homme à tête de taureau coiffé du disque et du croissant lunaire avec deux grandes plumes. Il portait les emblèmes royaux d'Osiris.

Le calendrier égyptien était basé sur Sirius qui était vénérée. Alors que le conduit nord de la pyramide de Keops pointe très exactement l'étoile polaire, le conduit sud de la chambre du Roi pointe l'étoile Orion à la période de l'année où commence la crue fertile du Nil. Orion est définie comme étant le siège du Dieu de la mort ; Osiris. Le conduit sud de la chambre de la reine, quant à lui, pointe Sirius, demeure d'Isis, déesse de la fécondité.

De nombreux catalogues astronomiques de différentes cultures présentent Sirius. Horace et Sénèque, auteurs, attribuent à Sirius la couleur rouge. Ptolémé, astronome, classe aussi Sirius comme une étoile rouge. Le changement de couleurs de Sirius en 2 000 ans pourrait être attribué à l'interposition entre nous et Sirius d'un nuage de poussières interstellaires qui aurait rougi sa lumière.


Masque cérémonial Dogon


Village Dogon au bas de la falaise de Bandiagara


Palenque

Vers 1950, l'archéologue Alberto Ruz Lhuillier mit à jour, après 3 années d'un travail d'enfer dans la jungle, au coeur d'un majestueux temple maya, à Palenque - Mexique - un superbe bas-relief richement sculpté ornant le sarcophage d'un grand dignitaire. La dalle pèse 5 tonnes et mesure 3,80 mètres sur 2,20 mètres. C'est derrière l'escalier d'accès à la pyramide qu'il découvrit la crypte de 9 mètres de long et de 7 mètres de haut. Les murs sont ornés de superbes bas-reliefs.

Datant approximativement du VIIème siècle cette dalle sculptée et incrustée dépeint une scène où l'on voit un "astronaute" aux commandes de son vaisseau spatial. Par ailleurs, le corps d'un homme blanc bien conservé reposait dans la tombe. La taille moyenne d'un Maya était de 1,52 m et l'homme trouvé dans la tombe mesurait 1,78 m ?! Ce maya s'appelait Pacal, ce qui veut dire "main - bouclier". Les inscriptions révèlent qu'il est décédé à 80 ans en 683. Cela pose un problème car l'étude du corps dans le sarcophage démontre que la mort l'avait surpris dans sa quarantième année. Alors ?! Quel mystère règne sur cette dépouille richement décorée de bijoux dont un superbe masque mortuaire en mosaïque de jade de plus de 200 pièces ?

De nos jours la question reste toujours posée. Est-ce que c'était un maya de grande taille ou les restes d'un ancien astronaute - en d'autres mots, un extraterrestre ?
Le peuple maya était exceptionnel. Ils croyaient qu'ils étaient le premier peuple sur terre et pensaient qu'ils étaient un peuple avancé, créant des formules scientifiques, utilisant le calcul et la physique. Les mayas exécutaient correctement la chirurgie du cerveau, aussi bien que de nombreuses autres procédures chirurgicales que le monde d'aujourd'hui ne comprend toujours pas. Les ossements retrouvés le prouvent ; les opérés avaient survécu à l'opération. Les os avaient continué de vieillir et s'étaient reconstitués.

Ils vénéraient les cieux, ont calculé et créé un calendrier solaire si exact qu'il prédit les éclipses d'aujourd'hui à 13 secondes près. Peut-être, leur obsession des cieux était le résultat d'extraterrestres qui prirent ce peuple complètement sous leurs ailes.

Cf./ "Contact OVNI" n° 46 - Pascal Castrataro.
"OVNI - Cette vérité qui dérange" - Ed. Ramuel 1997 - Jean-Luc Lemaire.


La cité perdue de Palenque est située au beau milieu de la forêt tropicale sur les contreforts de la montagne de la Sierra de Palenque,
dans l'état actuel de Chiapas au Mexique. L'immense palais est composé d'un ensemble d'édifices truffés de corridors, de salles et de cours intérieures.


Le temple des inscriptions


Pacal a construit ce temple à sa propre gloire. Il a gouverné le royaume de Palenque pendant 68 ans.
Sur les murs du temple, en haut, on peut voir les inscriptions de 617 hiéroglyphes concernant les dieux et la lignée des souverains de Palenque.


Intérieur du temple des inscriptions


En 1952, un passage secret fût découvert sous les pavés du sol. Les 67 marches mènent à l'entrée du tombeau.
Des offrandes de jade et de perles ont été trouvées ici, ainsi que les squelettes de six personnes sacrifiées.


Entrée du tombeau
Une énorme porte triangulaire marque l'entrée du tombeau du seigneur Pacal.
Après de multiples tentatives, les archéologues ont découvert un mécanisme caché permettant d'ouvrir la porte.


Tombeau de Pacal
Dans cette évocation de l'archéologue Merle Greene Robertson, plusieurs prêtres Mayas conduisent une cérémonie autour du sarcophage.
Neuf gardiens ont été sculptés sur le mur arrière du tombeau.

 

Sarcophage de Pacal
Le couvercle du sarcophage dépeint Pacal en route vers l'autre monde (Xibalba).

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